Je me surprends tout les matins à te regarder lire ton journal. Je regarde tes mains, grandes et viriles, tourner les pages avec vigueur. Je te regarde boire ton café bruyamment en n'y laissant pas une goutte. Lorsque tu lèves les yeux, te sentant sans doute observer, mes jambes ramollissent et je détourne rapidement le regard mine de rien. Je me surprends à regarder sous la table me demandant si un homme aussi sensuel que toi est bien membré. J'aime quand tu me froles lorsque je t'apporte du café. Mon corps est transporté dans une vague d'excitation à chaque fois.

Je m'en confesse, je suis même aller me soulager quelques fois après ton départ tellement j'avais envie que tu me prennes. J'ai profité de mon temps de pause à maintes reprises pour aller fantasmer sur toi et me soulager de cette sensation trop forte en moi. Chaque fois j'ai souhaité que tu viennes me rejoindre dans la salle de toilette et que tu lèves ma petite jupe noire pour m'arracher ma petite culotte avec autant de vigueur que tu tournes les pages de ton journal.

Tu me caresses les fesses doucement puis me donne la fessée en me disant à quel point je suis une vilaine fille. Ensuite, ta bouche près de mon oreille, me faisant frémir de plaisir, tu me murmures qu'une petite salope comme moi mérite d'être corrigé. Tu me tournes violent de bord et ouvre ma chemise sans même détacher les boutons dans un mouvement bestial. Tu serres mes seins de tes mains gigantesques et fortes avant de mettre mes mamelons dans ta bouche pour les mordiller . Je sens ma chatte mouiller comme jamais avant et j'ai juste envie de sentir ta queue me pénétrer brusquement. Mais tu me fais languire; tu passes ton doigts doucement sur ma vulve juste pour me narguer alors que je te supplie de me prendre tout de suite. Tu passes tes mains, sur le bouts des doigts, sur mon bas ventre ce qui me fait frémir.

Alors là seulement tu détache ton pantalon et me laisse voir ton pénis tout dur. Dans des grands mouvements de bassin, tu le frottes sur mes cuisses en frôlant ma chatte qui est prête à le dévorer. Tu m'empoigne violement par les cheveux et tu m'enfonces enfin ta verge au fond de moi. Je suis si excitée que je jouis presqu'instanément. Mais j'en veux encore!

Tu me retournes encore une fois et me penche très brusquement sur le comptoir afin de pouvoir me sodomiser. Sur le coup, je sens de la douleur dû au manque de lubrification puis l'excitation grimpe en moi si rapidement que je ne peux retenir mes gémissements. Tu empoignes à nouveau mes cheveux et tout en me pénétrant frénétiquement tu me traites de petite garce, ce qui m'excite encore plus. Je caresse mon clitoris pendant que tu me sodomises. La sensation est si intense, mes jambes ramolissent. Par chance que je suis appuyée sur le comptoir. Je me mordille les lèvres frénétiquement au point ou elles se mettent à saigner.

Quand je suis sur le point de jouir une deuxième fois, je sens ton foutre couler dans mon anus. Quelle magnifique sensation et ton gémissement ne fait que rajouter à mon plaisir. Je continue de caresser mon clitoris pendant que tu savoures ta jouissance puis, je jouis pour la deuxième fois. Avant de partir, tu remontes ton pantalon et me gaffigne violement le dos en me disant: Maintenant tu es ma petite pute.

Qui sait, un jour peut-être que je vivrai ce moment avec toi qui est là chaque matin pour bien commencer ma journée!