Hisoires érotiques

Ma mère nous avait invité à venir faire un tour chez elle question de prendre quelques verres. On était 6: ma mère et son chum, ma soeur et son chum, moi et un gars dans la fin vingtaine que je voyais pour la première fois. Il s'appellait Luc. Il avait les cheveux rasés et de jolis yeux bleus. Un sourire à tout casser et une "shape" enviable.

Toute la soirée, il m'agaçait et attirait mon attention. Je pouvais sentir mon désir se multiplier à chaque verre que je prenais. L'effet d'inhibition disparaissant de plus en plus, je le provoquais aussi avec des regards aguicheurs.

La soirée passait et l'on se désirait fortement. La discrétion n'était plus de mise. Le copain de ma mère travaillait pour l'oncle de Luc. Il vendait des voiture usagées et les bureaux étaient juste au-dessus de l'appartement. On y avait accès par une porte dans la salle de toilettes. Donc, plus tard dans la soirée, je monte en haut pour aller me soulager et... Luc me suit.

Nous traversons dans le commerce de son oncle en se dirigeant vers le bureau de ce dernier. On commence à s'embrasser en se caressant sauvagement. Puis, j'enlève son pantalon et lui le mien. Tout se passe rapidement. Et nous voilà sur le bureau de son oncle à baiser comme des animaux.

On se savoure sans se soucier des objets de son oncle qui tombent par terre. La seule chose qui nous importe c'est le plaisir présent. Il est tout chaud et sa bouche est délicieuse. Je le sens entrer brutalement en moi et je ne peux même pas retenir mes cris tant c'est bon.

Le bureau bouge et cogne sur le plancher mais le fait que ceux qu'on a laissé en bas nous entende ne freine pas nos élans. Nous continuons de plus belle. Je sens son haleine chaude dans mon cou et ça me fait frissoner. Puis, dans un cri discret mais des plus sensuel, Luc vient en moi.

Son cri et sa décharge chaude on suffit à m'achever et je viens à mon tour. Comme onest tout en sueur on va prendre une douche.

Ensuite, on reprend un peu nos esprits et on va ranger le bureau. Quel désordre!!! Je sais pas pourquoi mais les autres nous jetaient de drôle de regards à notre retour!